J'arrive l'introduction, mais je bloque au niveau de la problématique et du plan.
En fait, je ne comprend pas très bien le sens du sujet (qui doit normalement constituer notre première partie).
T'inquiète pas, tu vas en commencer l'année prochaine en Français.Ptit Gars a écrit:M'enfin, c'est compliquà les dissertations. . .
c2main a écrit:Et puis après tout, si j'argumente bien, je peux espérer avoir la moyenne.
Quand je parle du bonheur, je parle plutôt d'une approche du bonheur : égalité et liberté par la justice, les droits... sécurité (ou protection) par le transfert des forces des individus à un autre individu, car à l'état de nature les hommes entretiennent l'état de guerre par l'utilisation de leur force.XFJ a écrit:Sujet : Qu'attend-t-on du pouvoir politique?
Ce qui m'étonne, c'est que tu ne parles pas de l'universalité ("on"), on parle ici d'une attente universelle (qui s'élève à l'humanité).
Autre chose, tu parles du bonheur comme fin, mais le pouvoir vise-t-il sur le long terme le bonheur (ne vise-t-il pas la stabilité?). Je peux me servir de l'Histoire comme exemple : existe-t-il un seul État, un seul royaume, un seul empire qui essayait de rendre son peuple heureux? À ce que je sache, le peuple subissait plutôt les décisions du pouvoir (enrôlement dans l'armée, impôts). Personne ne s'intéressait à la masse populaire (il fallut attendre (à vérifier) le XVIIIème siècle pour que les artistes commencent à choisir comme sujet le peuple).
On pourrait penser que ce pouvoir contribuerait au bonheur d'une élite mais cette élite est-elle vraiment heureuse? Même si cela est le cas, cela serait en contradiction avec le sujet (on parle d'universalité).
Donc le bonheur n'est pas la fin visée par le pouvoir politique et ,à fortiori, n'est pas la conséquence du pouvoir politique. Le I] tombe à l'eau.
Tu parles de justice mais avant de parler de justice, il faut traiter la question de l'égalité et de l'équité (à travailler) (une fois le pouvoir politique mis en place, les hommes sont-ils nécessairement égaux (je peux penser à la république islamique iranienne et de la condition des femmes dans ce régime; à l'URSS qui prônait une idéologie fondé sur un égalitarisme pur et dur, cela a-t-il contribué à la justice?).
Je pense que tu n'as pas besoin de traiter des causes, on les connaît (état social, pacte social, etc...). Le III] tombe à l'eau.
Pourquoi parles-tu de conséquences, serait-il mieux de traiter plutôt de fin (les moyens seraient donc nécessairement traités dans tes parties)? La problématique est en train de couler.
Donc, en règle générale, tu n'as pas cerné l'intérêt du sujet (je peux me tromper, je ne suis qu'un simple lycéen).
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